Dernière mise à jour : 5 mai 2022
Comme tous les modèles qui l’ont précédée, la Rover 75 a fait l’objet de quelques séries spéciales lors de sa carrière commerciale.
Il convient d’abord de définir ce que l’on entend par « série spéciale » dans le cas de la Rover 75. Car il y a eu, dans l’histoire française de Rover (et avant lui, de British Leyland et d’Austin-Rover), deux grands types de « séries spéciales » :
- Les séries spéciales « usine » : il s’agit de véhicules fabriqués à l’usine selon des caractéristiques spécifiques, et identifiés comme tels aux côtés des niveaux de finition habituels dans les archives de production. Destinés la plupart du temps à différents pays, leurs spécificités (badges, liserés, décalcomanies, par exemple) sont référencées dans le catalogue officiel des pièces du constructeur. Certaines (une minorité) de ces séries limitées peuvent être numérotées, et certaines peuvent finir par intégrer la gamme de manière permanente. Quelques exemples de ces séries « usine » : la Rover 214 SEi, la MGF 75th Anniversary, la MG TF 80th Anniversary, Austin Metro Red Hot/Jet Black…et tant d’autres.
- Les séries spéciales « importateur » : Il s’agit de véhicules disposant de différences (équipements, accessoires…) par rapport aux modèles de base dont ils dérivent, et dont les spécifications et le nom sont établies par la filiale importatrice, sans implication de l’usine. Chaque filiale d’un pays était libre de définir commercialement ce qu’elle voulait faire en la matière, quels noms donner à ces séries spéciales, quels spécifications supplémentaires se rattachaient à ces modèles…Si une série spéciale incluait une liste précise d’équipements, les véhicules étaient commandés à l’usine avec ces spécifications, ou pris sur le stock existant, et la filiale apportait les dernières modifications (pose du badge et des éventuels accessoires) dès lors que les véhicules étaient réceptionnés. Lorsque l’ensemble du réseau Rover européen disposait encore de la plateforme centralisée de Seneffe, en Belgique, où tous les véhicules étaient réceptionnés avant livraison vers les pays de destination, ces modifications pouvaient être faites sur place. Après la fermeture définitive de Seneffe, en 2001 (mais l’activité de stockage/préparation y avait déjà été fortement réduite par rapport aux années 80/90), c’est le concessionnaire qui le faisait lui-même, le siège (Argenteuil, en l’occurence, puis Nanterre en France) lui livrant les badges ou lui indiquant comment les commander.
La différence entre ces deux approches n’est pas évidente pour le propriétaire d’une de ces séries spéciales, mais on peut dire que les premières sont plus « officielles » puisqu’étant conçues par le constructeur lui-même, et pas par un de ses importateurs. Les deuxièmes n’en sont parfois pas moins intéressantes, mais spécifiques à un pays/marché précis (sauf rare exception, nous le verrons), et si on souhaite restaurer un exemplaire, retrouver le badge d’une de ces versions est beaucoup plus compliqué, puisque jamais référencé dans les catalogues pièces du constructeur. Il était d’ailleurs assez courant qu’un concessionnaire « oublie » d’apposer un badge sur le véhicule avant de le livrer au client…
Seule une connaissance de l’histoire des modèles peut permettre de distinguer ces deux types de séries spéciales…avec parfois des surprises. Par exemple, la MG TF « Vintage Racing », spécifique au marché français et limitée à 30 exemplaires, est une demande de la filiale française…mais qui a été réalisée à l’usine, et identifiée comme telle dans les archives de production de ce modèle. Comme quoi…
Pour en revenir à la Rover 75, toutes les séries spéciales de ce modèle appartiennent à la deuxième catégorie. Il n’y eut, en effet, aucune série spéciale de Rover 75 définie par le constructeur lui-même : toutes l’ont été par Rover France.
Rover 75 « Classic Line », première version
La « Classic Line » est chronologiquement la première série spéciale de Rover 75 commercialisée sur le marché français. Elle est annoncée par Rover France aux concessionnaires par un bulletin daté du 10 février 2000. Elle était assez basique puisque se contentant d’équiper les modèles 1.8, 1.8 Pack et 2.0 V6 Pack existants en stock d’un badge « Classic » sur la malle arrière, et d’un jeu de tapis de sol (version premium). L’objectif était de « dynamiser les ventes de Rover 75 en plaçant nos modèles essence dans un créneau de marché proche de 150 000 FF ». De fait, les prix de ces modèles « Classic Line » étaient assez attractifs par rapport au prix catalogue des finitions dont ils sont issus :
- Rover 75 1.8 Classic Line : 149 900 FF (prix catalogue Rover 75 1.8 : 165 500 FF)
- Rover 75 1.8 Pack Classic Line : 154 900 FF (prix catalogue Rover 75 1.8 Pack : 170 500 FF)
- Rover 75 2.0 V6 Pack Classic Line : 169 900 FF (prix catalogue Rover 75 2.0 V6 Pack : 188 500 FF)
En avril 2000, constatant que la motorisation diesel représente la très grande majorité des ventes de Rover 75, une note complémentaire du siège étend la série spéciale « Classic Line » à la motorisation 2.0 CDT en finition Pack, au prix de 154 900 FF, soit une belle remise par rapport au prix catalogue de la 75 2.0 CDT Pack (172 500 FF).
Rover 75 « Highland »
La Rover 75 « Highland » est annoncée aux concessionnaires par une note du siège datée du 31 août 2000. Uniquement disponible en motorisation diesel (2.0 CDT), elle s’appuie sur la finition intermédiaire (Pack), à laquelle est rajoutée l’option « régulateur de vitesse », mais dont on retire également la roue de secours en jante alliage pour la remplacer par une roue de secours « galette ». Un badge spécifique devait être commandé par les concessionnaires et apposée sur la malle arrière.
Le prix client est particulièrement attractif, puisqu’elle est commercialisée au prix de 164 900 FF, soit un prix inférieur à celui de la Rover 75 2.0 CDT Pack (172 500 FF) et même inférieur à celui de la finition de base à l’équipement beaucoup plus réduit (167 500 FF).
La série spéciale Highland était annoncée comme limitée à 250 exemplaires. Elle s’accompagne d’une campagne marketing baptisée « Vivez la route autrement » qui a lieu de mi-septembre 2000 jusqu’au 15 novembre 2000, avec la diffusion d’un encart publicitaire « Ailleurs en Rover » dans la presse.
Rover 75 « Sterling », première version
La Rover 75 Sterling est annoncée aux concessionnaires le 05 février 2001, pour une commercialisation au mois de mars dans le cadre d’une opération « Royal Days ». Cette série spéciale Sterling sera également appliquée aux Rover 25 et 45.
Concernant la Rover 75 Sterling, elle sera disponible uniquement dans la motorisation 2.5 V6, en boite automatique, et est basée sur la finition Pack Luxe. S’y rajoutent les équipements suivants normalement optionnels :
- le pack d’options Sterling, ainsi nommé au catalogue, comprenant le rétroviseur intérieur photosensible, les radars de recul, le store arrière électrique, le toit ouvrant, les laves-phares chauffants, le GPS couleur avec TV, l’alarme volumétrique, la mémorisation des réglages du siège conducteur, et le contrôle de traction.
- les jantes alliage 16″ modèle Union
- la peinture métallisée
- le badge spécifique sur la malle arrière
Il s’agit donc d’un modèle particulièrement bien équipé, puisque parmi les options possibles au catalogue à l’époque, ne sont absents que le système audio Harman Kardon, les rétroviseurs rabattables électriquement, et les airbags rideaux. Elle est proposée au prix de 246 500 FF, soit 10 000 FF de plus que le modèle 2.5 V6 Auto Pack Luxe au catalogue, mais le prix cumulé des options proposées atteignant normalement 25 600 FF, la série spéciale « Sterling » offre donc un avantage client de 15 600 FF.
Annoncée comme limitée à 50 exemplaires, il est à noter que la première communication du siège indiquait que le modèle devait être équipé des jantes 17″ modèle Serpent, avant que cette information ne soit changée 15 jours plus tard et que le modèle 16″ Union ne soit finalement retenu. Cela est dans doute du au fait que les jantes 16″ Union pouvaient être commandées en option usine, alors que les jantes 17″ Serpent étaient (à l’époque en tout cas) uniquement disponibles en accessoire. Choisir ce modèle de jante aurait donc fortement complexifié la chaine logistique pour cette 75 Sterling.
Rover 75 « Classic Line », deuxième version
La deuxième version de la série spéciale « Classic Line » diffère quelque peu de la première. Elle est annoncée aux concessionnaires le 28 août 2001 et s’applique également aux Rover 25 et 45. En ce qui concerne la Rover 75, elle s’appuie sur le niveau de finition de base uniquement, en motorisations 1.8 essence ou diesel 2.0 CDT, auxquelles se rajoutent un jeu de tapis de sol couleur Sandstone Beige ou Ash Grey selon la couleur de l’intérieur, et le badge spécifique. Le tarif est le même pour les deux motorisations : 149 900 FF, soit des avantages clients de 14 434,25 FF pour la version 2.0 CDT, et de 7 874,68 FF pour la version 1.8 essence, par comparaison aux tarifs en vigueur à l’époque.
Rover 75 « Sterling », deuxième version
La deuxième version de la Rover 75 Sterling est annoncée aux concessionnaires en février 2002 et diffère quelque peu de la première version. Autrefois réservée à la motorisation 2.5 V6 en boite automatique, elle est désormais proposée principalement en motorisation diesel 2.0 CDT, tant en carrosserie berline que Tourer (celle-ci ayant été lancée quelques semaines plus tôt). La boite automatique reste disponible en option, et la motorisation 2.5 V6 reste également disponible. Le niveau d’équipement est presque identique à la première version, auquel se rajoute le détecteur de pluie, qui a été rendu disponible depuis, et qui fait partie du pack d’options Sterling. En revanche, le régulateur de vitesse est supprimé. Il reste normalement disponible sur les versions à boite automatique, qui en sont équipées de série quelle que soit la version, cependant, une communication aux concessionnaires datée d’avril 2002 mentionne que suite à une erreur de production, le régulateur de vitesse est absent des versions automatique également.
Limitée à 75 exemplaires pour la berline, et 25 exemplaires pour la Tourer, la 75 Sterling deuxième version est commercialisée au prix de 31 750€ pour la version berline 2.0 CDT, et de 33 250€ pour la version Tourer 2.0 CDT.
Rover 75 « Sterling », troisième version
Jamais deux sans trois, la Rover 75 Sterling est relancé en mars 2003 dans une nouvelle variante qui diffère davantage des deux précédentes. Toujours basée sur la finition Pack Luxe, elle est proposée en motorisations diesel 2.0 CDTi et essence V6 2.5, en boite manuelle comme en boite automatique. Elle dispose toujours des radars de recul, du rétroviseur intérieur photosensible, et du détecteur de pluie (tous trois sont désormais de série sur toutes les Pack Luxe), mais ne dispose plus du pack d’options Sterling : à la place, certaines options complémentaires et accessoires ont été spécifiées individuellement. Elle est toujours équipée de la navigation GPS couleur, du toit ouvrant, du contrôle de traction, et d’une peinture métallisée. Notons aussi qu’elle est désormais chaussée de jantes 17″ Serpent (désormais disponibles en option usine), elle récupère le régulateur de vitesse qui avait disparu de la deuxième version, et s’enrichit par rapport aux précédentes versions des phares lenticulaires, d’un volant bois/cuir, et des airbags rideaux. Elle perd en revanche le store arrière électrique, l’alarme volumétrique, les lave-phares chauffants, et la mémorisation des réglages du siège conducteur.
Autre nouveauté, le badge spécifique Sterling adopte le format des anciens badges de motorisation qui figuraient en bas des portières avant jusqu’au milieu de l’année 2001, et prend place au même endroit.
Annoncée comme limitée à 100 exemplaires pour la berline, et 20 exemplaires pour le Tourer, les tarifs sont les suivants :
- Rover 75 Sterling 2.0 CDTi Manuelle : 34 000€ (Tourer : 35 200€)
- Rover 75 Sterling 2.0 CDTi Automatique : 35 600€ (Tourer : 36 800€)
- Rover 75 Sterling 2.5 V6 Automatique : 39 100€ (Tourer : 40 300€)
Rover 75 « Parkline »
Annoncée en août 2003, pour une disponibilité en concessions entre le 1er septembre et le 31 décembre 2003, la Rover 75 Parkline fut sans doute une des séries limitées les plus vendues de la Rover 75. Elle rejoint en cela la Rover 800 Parkline qui, presque une décennie avant, avait inauguré ce nom chez Rover France.
La Rover 75 Parkline est basée sur la finition intermédiaire Pack, à laquelle sont rajoutés les équipements suivants :
- intérieur cuir
- volant bois et cuir
- régulateur de vitesse
- jantes 16″ Union
- phares lenticulaires
- peinture métallisée
le tout pour 1€ de plus par rapport au prix catalogue de la Rover 75 Pack.
Toutes les motorisations étaient disponibles : 1.8, 1.8 Turbo et 2.5 V6 en motorisations essence, et 2.0 CDT et 2.0 CDTi en motorisations diesel, en carrosseries berline et Tourer. La boite automatique est également disponible sur les motorisations 2.5 V6 et CDT/CDTi. La version CDTi à boite manuelle fut, de très loin, la plus répandue des 75 Parkline, et sa commercialisation se poursuivra lors de l’année 2004. Le badge spécifique Parkline est, comme pour la dernière Sterling, de même format que les anciens badges de motorisation, et appliqué aux bas des portières avant.
Les combinaisons de couleurs carrosserie et intérieur :
- Starlight Silver / intérieur cuir Ash Grey
- Odyssey Blue / intérieur cuir Sandstone Beige
- Royal Blue / intérieur cuir Sandstone Beige
- White Gold / intérieur cuir Ash Grey
- Moonstone Green / intérieur cuir Ash Grey
Rover 75 100th Anniversary
Cette série spéciale l’est vraiment à plusieurs titres : elle est la seule série spéciale à cocher toutes les cases des options disponibles (aucune ne manque à l’appel), elle est donc encore mieux équipée que les Sterling première version, et elle fut également la seule à être numérotée.
Elle fut dévoilée lors du Mondial de l’Auto à Paris, sur le stand du constructeur, fin septembre 2004. Extérieurement, elle reprenait l’apparence de la Rover 75 V8 dévoilée au salon de Genève en mars de cette même année (et non encore commercialisée en France) : calandre « premium », jantes 18″ modèle Vortex, et peinture Chatsworth issue de la gamme Monogram.
Côté équipement, alors que le terme « toutes options » est souvent utilisé à contre-sens pour désigner une voiture relativement bien équipée (mais sans pour autant cocher toutes les cases), la Rover 75 « 100th Anniversary » les cochait vraiment : sur la base d’une 75 Heritage LSE, déjà bien équipée (toit ouvrant, volant cuir/bois, pommeau de levier de vitesse en bois, surtapis…), toutes les options disponibles au catalogue figurent dans ce modèle, de la sonorisation Harman Kardon au store électrique arrière, en passant par les feux Xenon.
Un badge « 100th Anniversary » était apposé sur les ailes avant, en dessous des répétiteurs de clignotants, tandis qu’une plaque numérotée prenait place dans l’habitacle (apposée sur la console centrale, sur le cendrier, elle sera parfois mal apposée par les concessionnaires, certains exemplaires ayant cette plaque posée au dessus des commandes de ventilation).
Commercialisée en version 2.0 CDTi (boite manuelle et boite automatique), et V6 2.5 (boite automatique uniquement), elle fut annoncée comme limitée à 100 exemplaires, disponibles en coloris Chatsworth ou Black Olive uniquement.
Dans la réalité, d’après les archives de production, il semble qu’un maximum de 87 exemplaires aient été assemblés (il s’agit là du nombre total de Rover 75 produites dans ces deux couleurs pour la France, toutes en finition Heritage LSE, sans qu’il soit certain que toutes aient appartenu à cette série spéciale, mais c’est très probable).
Parmi ces 87 exemplaires, 50 sont en Chatsworth (dont 4 en motorisation V6, 36 en motorisation CDTi et boite manuelle, 10 en motorisation CDTi et boite automatique), et 37 en Black Olive (dont 4 en motorisation V6, 23 en motorisation CDTi et boite manuelle, 10 en motorisation CDTi et boite automatique).
Il est à ce stade impossible de retracer avec précision l’affectation des numéros dans cette série aux numéros de châssis, car il est manifeste qu’il n’y a guère de cohérence entre ceux-ci. Ainsi, la voiture portant le numéro 1, exposée au salon de Paris fin septembre 2004, était une CDTi boite manuelle Chatsworth, et était chronologiquement…le deuxième véhicule de cette série, le premier véhicule assemblé étant une Black Olive. D’autres incohérences ont pu être relevées parmi les exemplaires survivants, avec des numéros ne suivant pas la logique chronologique des numéros de châssis. Les numéros étant apposés par les concessionnaires, il est fort possible que les plaques leur aient été envoyées sans logique ou ordre précis. A titre d’exemple, la voiture portant le n°53 est le 75ème exemplaire de cette série à avoir été assemblé, tandis que la voiture portant le n°68 est le 83ème exemplaire, et que la voiture portant le n°80 est…le 6ème exemplaire à avoir été assemblé !
A noter que cette série suscita l’intérêt d’autres filiales européennes…l’Allemagne et les Pays-Bas, qui commercialisèrent leur propre version de la Rover 75 100th Anniversary. Même équipement pléthorique, mais pas de plaques de numérotation ou de badge spécifique, motorisation CDTi uniquement en Allemagne (CDTi et V6 2.5L aux Pays-Bas), et des couleurs plus conservatrices : British Racing Green, Starlight Silver, et Black Pearl pour l’Allemagne (Black Pearl uniquement pour les Pays-Bas).
Rover 75 « Platinum Edition »
Annoncée en février 2005 et disponible officiellement à partir du 1er mars 2005, la 75 « Platinum Edition » fut la dernière série spéciale, de fait, de Rover France, avec la faillite du groupe au mois d’avril. Prévue initialement pour durer jusqu’au 31 mai, et devant être complétée par une édition « Platinum SE » à partir du mois de juin, la plupart des 75 « Platinum Edition » fut vendue bradée, comme le reste du stock dans les concessions, dans les semaines qui suivirent la faillite. Cette série spéciale s’appliquait également aux modèles 25 et 45.
Partant d’une base 75 Heritage SE, la Platinum Edition ajoutait les équipements suivants :
- calandre « premium » de type V8
- Sellerie cuir
- Finition tableau de bord de type « ronce de noyer » (en remplacement de la finition chêne clair qui était alors de série)
- Volant cuir/bois
- Antibrouillard avant
- Radars de recul, capteur de pluie, rétroviseur photosensible
- Peinture métallisée : Pearl Black ou Starlight Silver
Disponible en motorisation 2.0 CDTi uniquement, elle était commercialisée au prix de 29 910€ en version boite manuelle et carrosserie berline. La boite automatique était disponible en option, le Tourer était également officiellement disponible dans cette série spéciale.
Ce prix était supérieur de 460€ à celui de la 75 Heritage SE, les équipements supplémentaires représentant un avantage client de 5 000€.
L’option « GPS Ecran couleur » était disponible sur les modèles Platinum Edition, donnant naissance à la série « Platinum Edition GPS ».
Comme pour la plupart des séries limitées, une campagne marketing accompagna le lancement des modèles Platinum Edition, avec l’édition pour l’occasion (chose rare) d’un petit livret de 4 pages pour la 75, envoyé par courrier aux clients prospects. Nous le reproduisons ci-dessous.
Une revue compète des séries spéciales de la 75.
je découvre enfin le badge de l’édition platinum que je n’avais vu jusqu’à présent que sur les brochures. Est-il encore possible de les trouver ?
bravo pour cet article intéressant
richard
Si t’es sage, tu auras droit à un petit cadeau 😉
Vivement le rdv AG🤔
Bonjour, j ai une rover 75 platinium sans les badges…. Est il possible de s’en procurer ? Merci d’avance
Bonsoir, impossible à ce stade faute de stock existant. Nous envisageons leur refabrication à partir d’un exemplaire conservé.
Bravo pour cet article très complet
Merci Daniel 🙂